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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 22:04
Trop tard, elle vient de mourir…

Bien sûr que le rapport final est fin prêt, mais lequel ? Celui de la réhabilitation de La Casbah ou celui de la disparition de la carte géographique de la ville d’Alger.

J’ai pris connaissance de votre article «Le document final élaboré vient d’être ficelé. Avant d’être soumis, pour approbation, au conseil de gouvernement, ce plan sera également soumis au débat au niveau de l’APW».
Combien de plans ont suivi le même chemin sans trouver d’issues ? Depuis plusieurs années, La Casbah n’a pas pu attendre pour se dégrader et se détruire. L’abandon des hommes et l’usure du temps n’ont pas eu le même parcours que votre plan.
La fondation Casbah a, depuis plus de quinze années, rencontré tous les hauts responsables, visité toutes les administrations, participé à plusieurs réunions, débats, etc., mais à l’époque, La Casbah était malade mais pas encore morte. La Casbah, c’était 1700 bâtisses, puis 1200, puis 1000, puis 800, puis 500, dont la plupart menacent ruine. Tous les problèmes posés par cette Casbah ont trouvé une solution. Vous parlez de propriétaires privés, d’héritiers, etc. Une association a été spécialement créée pour gérer ce problème, une loi a été votée et promulguée pour ce genre d’entraves.


C’est la loi 98-04 du 15 juin 1998, il ne reste plus qu’à l’appliquer dans tous les cas de figures. Vous parlez des placettes, c’est-à-dire des espaces vides récupérés suite à l’effondrement de certaines maisons. Je ne suis ni architecte, ni ingénieur, ni idéologue, mais la théorie des dominos ne pardonne pas dans ce cas de figure. Nous n’avons pas le choix, c’est la reconstitution à l’identique dans certains quartiers qu’il faut impérativement retenir comme option. Il ne faut surtout pas lésiner sur les moyens, car il ne s’agit pas de logements OPGI, sociaux, AADL ou autres, mais de l’histoire de notre pays et d’un patrimoine universel, faut-il le rappeler.  Une nation qui n’a pas d’histoire et pas de mémoire, n’a pas d’avenir. On en prend conscience aujourd’hui, je peux et je suis à l’aise pour le dire, qu’il est peut-être trop tard. Le malade qu’il fallait soigner vient de mourir. Trop d’encre a coulé sur La Casbah, on a trop parlé ou pas assez, dans la presse écrite et dans les revues, dans les cafés et les rencontres, dans les forums et les ministères, aujourd’hui, la question est d’actualité : faut-il sauver La Casbah et comment, ou faut-il prendre la responsabilité de l’irréparable et laisser disparaître ce qui reste ? La Casbah n’est pas une réserve d’Indiens, et encore moins un ghetto, mais avec le temps, l’administration est arrivée à en faire un centre de transit, un centre de mal-logés et de laissés-pour-compte. Tel est le résultat auquel nous avons abouti par une gestion catastrophique de ce site historique.
La Casbah a été divisée en plusieurs îlots, et la réhabilitation a commencé par l’îlot supérieur, Sidi Ramdane, avec le transfert de 489 familles.


Malheureusement, cet élan a été stoppé par un wali d’Alger en bloquant tant d’années d’efforts et de réflexion.
Vous faites des promesses, mais cette politique de La Casbah a assez duré, cela fait plus de 30 ans que vous nous nourrissez de promesses.
Mais le résultat est là, il n’y a plus de Casbah, nous sommes à l’aise, nous détenons toutes les réflexions, les propositions et les solutions qui ont été présentées aux autorités pour sa réhabilitation. Vous assumez l’entière responsabilité de la disparition de La Casbah.
J’accuse ceux qui ont eu la charge de préserver ce patrimoine de sabotage, de destruction du patrimoine national et universel.
J’invite tous ceux qui ne sont pas d’accord avec moi, j’invite les journalistes, les fonctionnaires, les hommes de culture à une visite sur le site, à un pèlerinage dans ce lieu historique devenu un monstre, une ville bombardée où les ruines donnent froid dans le dos. A. M.

 

Ali Mebtouche. Président d’honneur Fondation Casbah

Picture-2580.jpgCopie de Picture 2578

 

Too late,it just died ...
Of course the final report is ready, but which one? That the rehabilitation of the Casbah or the disappearance of the map of the city of Algiers.

I read your article "The final document prepared just tied. Before being submitted for approval to the council of government, this plan will also be debated at the WPA. "
How many plans have gone the same way without finding solutions? For several years, The Casbah could not wait to degrade and destroy. The abandonment of men and the ravages of time have not had the same route as your plan.
Casbah Foundation has over fifteen years, met all the senior officials, visited all jurisdictions participated in several meetings, debates, etc.. But at the time, The Casbah was sick but not dead yet. The Casbah was 1700 buildings, then 1200, then 1000, then 800, then 500, most of which threaten ruin. All the problems posed by the Casbah have found a solution. You talk of private owners, heirs, etc.. An association has been specially created to manage this problem, a law was passed and promulgated for such barriers.


It's the Law 98-04 of June 15, 1998, it remains only to apply in all scenarios. You talk of plots, that is to say empty spaces recovered following the collapse of some houses. I am neither an architect nor engineer, nor an ideologue, but the domino theory does not forgive in this case. We have no choice, it is the identical reconstruction in some areas it is imperative to retain as an option. It is important not to skimp on the means, because it is not OPGI housing, social, or other AADL, but the history of our country and a world heritage, it must be remembered. A nation that has no history and no memory, no future. We become aware of today, I can and I am comfortable to say, it is perhaps too late. The ill treatment he had just died. Too much has been written about La Kasbah, we talked too much or not enough, in newspapers and magazines, in cafes and meetings, forums and ministries today is the question of News: should he save the Casbah and how, or should take responsibility for the irreparable disappear and leave the rest? The Casbah is not an Indian reservation, much less a ghetto, but over time, the administration came to make a transit center, a center-housed and have-account. This is the result we have reached a catastrophic management of this historic site.
The Casbah has been divided into several blocks, and rehabilitation began with the top block, Sidi Ramdane, with the transfer of 489 families.


Unfortunately, that momentum was halted by a Wali of Algiers in blocking so many years of effort and thought.
You make promises, but this policy of The Casbah has gone on long enough, it's been over 30 years that you feed us with promises.
But the result is there, there is no more casbah, we're comfortable, we hold all discussions, proposals and solutions were presented to the authorities for his rehabilitation. You assume full responsibility for the disappearance of the Casbah.
I accuse those who had the burden of preserving this heritage of sabotage, destruction of national heritage and universal.
I invite all those who do not agree with me, I invite journalists, officials, men of culture to visit the site, a pilgrimage to this historic site has become a monster, a bombed city where the ruins give chilling. A. Mr.
 

                                Ali Mebtouche. Honorary President Casbah Foundation

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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 21:30
Est-il trop tard pour sauver La Casbah ?
Dans l’édition de jeudi dernier, un titre sentencieux autour de la restauration de La Casbah paru dans la page débat d’El Watan a donné froid dans le dos. Un pavé jeté dans la mare d’une cité dépavée. Le ton étant plus qu’alarmiste et beaucoup d’interrogations nous renvoient à une réalité amère. «Trop tard, elle vient de mourir…», c’est le titre de l’auteur, Ali Mebtouche, président d’honneur de la Fondation Casbah qui en a trop sur le cœur. Un intitulé qui ne nous rappelle pas moins le fameux opus nostalgique «Il est déjà trop tard, trop tard pour tous les deux (…). Il faut se séparer...», des strophes roucoulées par Frédéric François dans les seventies du siècle dernier. Vous me direz : quel rapport y a-t-il entre le désarroi affiché par les deux auteurs ?

L’un est malheureux d’avoir perdu à tout jamais sa bien-aimée, l’autre est dépité, car il a trop de peine de voir son amour pour l’ancienne médina s’effilocher, voire se consumer depuis des lustres. Ce dernier réagit aux dernières nouvelles relatives à la restauration de La Casbah dont le document final lié au plan permanent de sauvegarde vient d’être ficelé. Une autre tentative de réhabilitation, sinon un énième secours qui vole au chevet de la «maudite» Casbah, depuis le Comedor à l’amorphe Ofares en passant par le feu de paille qu’est l’Ofirac.

La Casbah et la société civile, une longue histoire d’amour avec ses aléas que tentent d’édulcorer les politiques lors de timides manifestations. Depuis l’Indépendance à ce jour, on fait semblant de gratter ses murs lézardés, on se presse à chauler ses parois lors du passage de cortèges officiels et autres délégations de touristes à qui on montre ce qu’on veut qu’ils voient, à défaut de leur mettre presque des œillères pour ne pas les choquer par la saleté envahissante et la décrépitude des lieux ancestraux devant lesquels le quidam reste en carafe. Un site historique qui abrite à peine 500 demeures et non 1816, comme charrié de manière surfaite par un des responsables.

La Casbah et ses pensionnaires semblent se regarder en chiens de faïence. Qui abandonnera l’autre ? Qui abdiquera devant l’indigence criante du terrain meublé de centaines de bâtisses en détresse, sans compter les 7 hectares pleins de vide. L’on nous ressasse à l’envi que cette fois-ci le taureau est pris par les cornes. L’on nous fait accroire que ce legs séculaire, patrimoine mondial, sera pris à bras-le-corps. Mais cela prendra le temps qu’il faut. La phase d’urgence étant opérée, il n’y a pas lieu de se bousculer ni d’accélérer le processus anti-dégradation, même si derrière les parois murées et étayées, le squat continue de l’émietter. Quant à la citadelle, faudra-t-il faire appel à un autre Baba Aroudj et un autre Dey Hussein pour nous réaliser les modules flétris, à défaut d’une restauration qui fait du surplace depuis 31 ans ? On ne sait, en tout cas, si le cri de colère du président d’honneur de la Fondation est lancé à tort ou à raison. Une chose est sûre, il n’a pas perdu la raison.

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 22:24

Priere de l'AID EL ADHA a la mosquée ARAFAT Ben Aknoun......une freternité tell que vous ne trouvrez qu'en ISLAM

 

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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 20:59

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3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 22:48

 

Ben aknoun, 7e arrondissement d'Alger, est une commune de la daïra de Bouzareah, dans la wilaya d'Alger. Située sur les hauteurs à 7 km du centre de la capitale algérienne elle compte 32 490 habitants.

Il est à signaler que Ben Aknoun à l'origine était Ben Sahnoun terre des Sahnoun en 1500.

C'est l'un des pôles administratifs et politique du pays (ministères, ambassades...) et également un grand centre universitaire. Ben Aknoun abrite aussi un hôpital, un parc zoologique et un grand parc d'attraction. Les infrastructures hors habitation représentent les 2/3 de la surface de la commune. Elle abrite par exemple neuf ambassades et huit ministères.

  • Ambassade du Qatar.
  • Ambassade du Canada.
  • Ambassade d'Arabie saoudite.
  • Ambassade du Nigéria.
  • Ambassade soltan Aman.
  • Ambassade du Japon.
  • Ambassade du Mexique.
  • Ambassade de la Syrie
  • Ambassade d'Iran
  • Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
  • Ministère des finances.
  • Ministère des travaux publics.
  • Ministère de la formation professionnelle.
  • Ministère de la PME et de l'artisanat.
  • Ministère du commerce international
  • Ministère de l'agriculture.

Les centres universitaires de Ben Aknoun  

  • La faculté de droit, l'institut des sciences politiques et l'institut des sciences de l'information et de la communication
  • L'institut national du commerce (INC).
  • Institut national des statistiques et de planification .
  • Centre de recherche sur l'information scientifique et technique (Cerist) .
  • Les plus grands et fameux lycées algérois "Amara Rachid", "Mokrani 1", "Mokrani 2", "Mentouri" et le seul lycée français d'Alger le lycée Alexandre-Dumas
  • Les cités universitaires de garçons (2cités) et de jeune filles(2cités) .
  • Prochainement la faculté de médecine.
  • Ainsi que 3 CEM et 5 primaires.
Ministère des Finances.
Ben Aknoun, 7th district of Algiers,  daïra Bouzareah, in the wilaya of Algiers. Situated on the upper 7 km from the center of the Algerian capital it has 32 490 inhabitants.

It is worth noting that Ben Aknoun was originally Sahnoun Ben Sahnoun earth in 1500.

This is one of administrative and political centers of the country (ministries, embassies ...) and also a large academic center. Ben Aknoun also houses a hospital, a zoo and an amusement park. Infrastructure outside the home represent two thirds of the surface of the town. It is home to nine embassies, for example, and eight departments.

    
* Embassy of Qatar.
    
* The Embassy of Canada.
    
* Embassy of Saudi Arabia.
    
* The Embassy of Nigeria.
    
* Embassy soltan Aman.
    
* Embassy of Japan.
    
* The Embassy of Mexico.
    
* Embassy of Syria
    
* Embassy of Iran

    
* Ministry of Higher Education and Scientific Research.
    
* Ministry of Finance.
    
* Ministry of Public Works.
    
* Ministry of Vocational Training.
    
* Ministry of SMEs and crafts.
    
* Ministry of International Trade
    
* Ministry of Agriculture.

Academic centers of Ben Aknoun

    
* The Faculty of Law, Institute of Political Science and Institute of Information Sciences and Communication
    
* The National Institute of Trade (INC).
    
* National Institute of Statistics and Planning.
    
* Centre for Research on the Scientific and Technical Information (CERIST).
    
* The largest and most famous schools of Algiers "Amara Rachid", "Mokrani 1", "Mokrani 2", "Mentouri" and the only high school French in Algiers Alexandre Dumas High School
    
* The boys dormitories (2cités) and young girls (2cités).
    
* Soon the faculty of medicine.
    
*3 COLLEGE and 5 primary.

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 21:33

 

  http://vanille63.v.a.pic.centerblog.net/ee8143ec.gif

 

S'étalant sur une superficie de 2.396,63 km2, avec une façade maritime de 120 Kms, la wilaya de Jijel est comprise entre les méridiens 5°25 et 6°30 Est de Greenwich, et entre les parallèles 36°10 et 36°50, hémisphère Nord. La région appartient au domaine Nord atlasique connu localement sous le nom de la chaîne des Babors, elle est limitée par :

    - La mer méditerranée au Nord.
    - La wilaya de Skikda à l'Est.
    - La wilaya de Bejaia à l'Ouest.
    - La wilaya de Setif et de Mila au Sud.

Elle est à :
- 30 mn de vol d'Alger la Capitale.
- 1 heure de vol de Naples (Italie).
- 1 heure de vol de Barcelone .
- 1 heure de vol de Marseille .

 

le climat:

 

La région de Jijel est considérée parmi les régions les plus pluvieuses d'Algérie. Elle est caractérisée par un climat méditerranéen, pluvieux et froid en hiver, chaud et humide en été. Les températures varient entre 20C° et 35C° en été à 5C° à 15C° en hiver. La saison de pluie dure environs 06 mois.
Les précipitations moyennes annuelles enregistrées dans la wilaya varient de 800 à 1200 mm/an.

http://www.dublin.ie/forums/attachment.php?attachmentid=31085&d=1249295649

http://www.dublin.ie/forums/attachment.php?attachmentid=31151&d=1250618025

http://www.dublin.ie/forums/attachment.php?attachmentid=31200&d=1250789457

http://image-photos.linternaute.com/image_photo/540/autres-mers-et-plages-jijel-algerie-1355859638-903847.jpg

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 15:45

 

 


 

Picture-2552.jpg 

madrassa el thaalibia rue ben cheneb

 

Picture 2551

        djamaa lihoud  la casbah

 

Picture-2665.jpg

 

ben aknoun la nuit

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